Nicolas Capt
Présentation
Nicolas Capt est un spécialiste internationalement reconnu en droit des médias, de la réputation et des technologies avancées, notamment en intelligence artificielle. Il est également rompu aux arcanes de la communication de crise.
Nicolas Capt met son expertise au service d’institutions publiques, d’entreprises et de personnes physiques particulièrement exposées (p.ex. chefs d’entreprises, célébrités, politiciens de haut rang).
Associé fondateur du Cabinet, il accompagne ses clients dans toutes les problématiques propres et connexes au droit des technologies, de la réputation et des médias, que ce soit sur le plan du conseil ou du contentieux. Il offre également un accompagnement stratégique et juridique complet lors du déploiement de projets numériques d’envergure nationale.
Anciennement inscrit au Barreau de Paris en tant qu’Avocat à la Cour (liste des avocats communautaires), Nicolas Capt bénéficie depuis lors d’un réseau professionnel de premier plan en France.
Il donne régulièrement, en Suisse et dans le monde, des conférences sur ses sujets d’expertise, intervient régulièrement dans des médias de premier plan et publie de façon très régulière.
Nicolas Capt enseigne le droit des médias au Centre de Formation au Journalisme et aux Médias (CFJM) et intervient ponctuellement pour des enseignements de formation continue en milieu universitaire.
Il est membre de nombreuses associations professionnelles dont l’Ordre des avocats de Genève, le CEDIDAC, le Club suisse de la presse et l’Association suisse des journalistes spécialisés AJS.
Parcours
Après avoir obtenu une licence en droit à l’Université de Lausanne en 2003, Nicolas Capt a complété sa formation par un Diplôme d’études approfondies en droit, criminalité et sécurité des nouvelles technologies, reçu à l’automne 2004 avec les félicitations du jury (summa cum laude).
Il a également obtenu deux certificats – Cours général de propriété intellectuelle et Cours avancé de commerce électronique et propriété intellectuelle – de l’Académie mondiale de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle.
Nicolas Capt a ensuite œuvré en qualité de collaborateur scientifique auprès de l’Autorité indépendante d’examen des plaintes en matière de radio-télévision (AIEP/UBI), à Berne.
Après avoir collaboré pendant plusieurs années au sein de deux célèbres cabinets d’affaires, d’abord chez Ming Halperin Burger Inaudi, puis chez Bonnant Warluzel & Associés, il a ensuite fondé, en 2012 et aux côtés de Me Nicolas Wyss, le cabinet Capt & Wyss au sein duquel il a déployé son activité jusqu’en 2018.
Aux côtés du Professeur Bertil Cottier et de Denis Masmejan, il a publié, en 2014, le premier commentaire en langue française de la loi fédérale suisse sur la radio et la télévision (Editions Staempfli, Suisse) dont il est également l’un des co-auteurs.
Distinctions & engagements
En 2016, Nicolas Capt été élu par le magazine alémanique Bilanz l’une des 100 personnes (digital shapers) qui font le numérique en Suisse et a figuré, en 2015, dans le palmarès annuel des « 100 personnalités qui font la Suisse romande ».
Il est l’initiateur et le co-organisateur, depuis 2017, de l’Artificial Intelligence Geneva Summit (AIGS), un événement international qui se tient annuellement à Genève et qui propose une vision holistique de la question de l’intelligence artificielle (www.aigs.ch).
Nicolas Capt s’est investi dans la défense des droits de l’Homme en défendant le condamné à mort Kenneth Foster lors du Concours international de plaidoiries de droit de l’Homme de Caen, en 2008. Le jury, présidé par Madame Françoise Tulkens, alors vice-Présidente de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), lui a décerné le deuxième prix.
Féru d’art oratoire, Nicolas Capt a également introduit en Suisse et organisé, au sein du jeune Barreau vaudois dont il était alors membre du Comité, les deux premières éditions (2007 et 2008) de la célèbre Conférence Berryer parisienne. Il a également participé et remporté des prix lors de plusieurs concours de plaidoiries nationaux et internationaux et joué, en 2018 et 2019, une pièce de théâtre surréaliste avec le Bâtonnier Marc Bonnant, « Le robot qui m’aimait ».
En 2020, il crée, aux côtés de la mécène et amie des arts Caroline Freymond et du sculpteur Vincent Du Bois, un cercle de rencontre philosophiques et artistiques (Les Rencontres Spectaculaires) dans le contexte duquel il publie un premier ouvrage intitulé « Pour ou contre la mort » (Editions Slatkine, Suisse), ouvrage qu’il co-écrit aux côtés, notamment, de Frédéric Beigbeder, Philippe Tesson, Gianni Motti, Cléo Collomb ou encore Plonk & Replonk.
Il est l’un des co-auteurs, en 2021, d’un ouvrage aux confluents de l’informatique, du droit et de la philosophie intitulé CODE_IA, placé sous la direction de Xavier Comtesse (Editions Georg, Suisse).